Whatsoever shall touch the flesh thereof shall be holy: and when there is sprinkled of the blood thereof upon any garment, thou shalt wash that whereon it was sprinkled in the holy place.

Tout ce qui touchera sa chair sera saint. Il était illégal pour quiconque de toucher la chair de l'offrande pour le péché, sauf seulement le prêtre consacré; et si le vêtement de quelqu'un était accidentellement taché par le jaillissement du sang, la tache devait être lavée dans l'enceinte du lieu saint. La signification évidente de cette déclaration est que la chair était si sainte, que seule la main d'un prêtre consacré pouvait la toucher, et le sang était si saint qu'une goutte de celui-ci ne pouvait être portée sans le sanctuaire (Bahr). La chair en toutes occasions était bouillie ou détrempée, à l'exception de l'agneau pascal, qui était rôti; et si un récipient en terre avait été utilisé, étant poreux et susceptible de s'imprégner de certaines des particules liquides, il devait être brisé; si une casserole métallique avait été utilisée, elle devait être récurée et lavée avec le plus grand soin, non pas parce que les récipients avaient été souillés, mais l'inverse - parce que la chair de l'offrande pour le péché avait été bouillie dedans, ces récipients étaient maintenant aussi sacré pour un usage ordinaire.

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