De ton. Ce dernier mot est omis dans certains exemplaires de la Septante, tandis que d'autres le changent en « mon ». Mais l'hébreu est agréable à la Vulgate. (Calme) --- Fin. Tu m'as préservé par une correction salutaire. (Saint Augustin) (Haydock) --- Hébreu, "ta bonté me multipliera" avec les enfants. Symmaque, conformément à 2 Rois xxii., a, "mon obéissance m'élèvera." (Calmet) --- L'hébreu peut cependant admettre le sens de la Vulgate.

--- Et ton, &c., est une paraphrase du premier sentiment, ou il est emprunté à Théodotion. (Berthier) --- Grabe marques de jusqu'à la fin, &c., comme omis en hébreu. (Haydock) --- Luther et les Hollandais traduisent : "Quand tu m'humilies, alors tu m'exaltes", pour montrer les effets salutaires de la souffrance. Mais rien de tel dans l'original. (Amama)

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