Assez. Saint-Jérôme, Chaldéen, etc., sont d'accord en ce sens. Mais l'hébreu peut en admettre un autre, pas tout à fait si dur, (Calmet) "comme un héros qui crie pour (Montanus) ou chante après le vin" ; (Haydock) dialalon ex oinou, « rendu bavard par le vin ». (Symmaque) --- Dieu a permis aux Philistins de prospérer pendant un certain temps; mais enfin il les couvrit d'ignominie. (Haydock) --- Il faut réfléchir que les langues orientales sont plus hardies dans leurs expressions que les nôtres, et que ce n'est là qu'une comparaison, pas plus étonnante que celle employée par notre Sauveur, quand il dit qu'il viendra comme un voleur dans la nuit.

(Berthier) --- Si l'Esprit de Dieu n'avait pas consacré de telles comparaisons, personne n'aurait osé les utiliser. (Saint Augustin) --- Dieu s'est levé pour punir les infidèles et pour préserver son Église. (Worthington) --- Le psalmiste parle de lui comme d'un homme revigoré par le vin et rempli de confusion. (Ménochius)

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