Ainsi le charpentier, l'artisan du bois et du métal, encouragea l'orfèvre, l'homme qui fondait les idoles, et celui qui aplanit avec le marteau celui qui frappait l'enclume, disant : Elle est prête pour la soudure, disant de la masse soudée, C'est bon; et il l'attacha avec des clous pour qu'il ne soit pas déplacé. Bien que le tableau, dans son ensemble, semble assez solide, les ouvriers, pour des raisons de sécurité, ont mis quelques clous pour le maintenir droit, une belle ironie caractérisant la vanité de l'idolâtrie et l'impuissance des adorateurs d'idoles, qui font confiance dans l'ouvrage des mains de l'homme.

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