Car une voix de lamentation se fait entendre de Sion, dans une lamentation sur le sort pitoyable de la ville, mais sans un véritable repentir du cœur. Comment sommes-nous gâtés, dévastés par l'ennemi ! Nous sommes grandement confondus, accablés de honte et de disgrâce, parce que nous avons abandonné le pays, ayant été contraints de le quitter, parce que nos habitations nous ont chassés, ou, "parce que l'ennemi nous a chassés".

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