Et si la femme n'est pas souillée, mais est pure, alors elle sera libre, ne sera pas visitée par le châtiment de Dieu, et libre de lever la tête parmi les membres de son peuple, et elle concevra une postérité, aura la capacité de porter des enfants. Cela montre que le procès de la jalousie n'était nullement aussi unilatéral que certains écrivains le voudraient, car la femme innocente, outrée au vif par les soupçons de son mari, pouvait insister sur cette justification publique d'elle-même, au profonde humiliation de l'homme qui l'accuse injustement.

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