Nous pouvons arriver à la description de l'autel des parfums. Il est significatif que dans la description antérieure du lieu saint, avec son mobilier, cet autel n'ait pas été nommé. C'était spécifiquement l'autel de la prêtrise, dont les instructions n'étaient données que lorsque le prêtre était préparé pour le service. Il complète et couronne la symbolique du Lieu Saint. La table des pains de proposition représentait la communion avec Dieu, le chandelier parlait du témoignage au monde, et maintenant l'autel d'or parle de l'offrande d'adoration.

Des dispositions étaient maintenant prises pour la prise de la somme des enfants d'Israël et le processus était une reconnaissance de la rédemption. Tout le monde devait fournir un demi-sicle d'argent. La valeur du riche s'exprimait par le demi-sicle, de même que celle du pauvre.

Les instructions concernant la cuve suivent. Il devait se tenir à l'entrée ; les prêtres y devaient se laver avant d'entrer dans le lieu saint. Pour un service continu dans les choses saintes, un nettoyage répété est nécessaire. Enfin, nous avons dans ce chapitre des instructions concernant l'huile d'onction et l'encens. Dans chaque cas, elles étaient composées de choses précieuses, toutes ayant une signification et suggérant que les meilleures grâces de l'âme doivent fusionner avec la douceur de l'onction d'en haut. Très solennelles sont les injonctions selon lesquelles ni l'huile sacrée ni le saint encens ne devaient être utilisés de quelque manière que ce soit pour la gratification personnelle.

Ils sont des symboles de la relation de l'âme à Dieu à son plus haut niveau et ne doivent pas être dégradés.

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