" Et il dit : " J'ai entendu le bruit de ta présence dans le jardin, et j'ai eu peur parce que j'étais nu, et je me suis caché. " '

À quelle vitesse l'homme se livre-t-il. Les couvertures futiles qu'ils avaient confectionnées s'étaient avérées inutiles, de même que toutes les tentatives de l'homme pour se rendre agréable à Dieu. (« Nos justices sont comme des haillons sales » déclare le prophète dans Ésaïe 64:6 ) Maintenant, il doit reconnaître la folie de ses voies. "J'avais peur parce que j'étais nu".

La connaissance de la présence de Dieu avait intensifié son sentiment de honte. Maintenant, il se connaissait pour ce qu'il était maintenant, et cela l'a amené à se donner complètement. 'Et je me suis caché'. L'aveu franc qui seul pouvait lui donner de l'espoir. Il n'essaie pas de l'étaler devant Dieu. Il admet son indignité, sa honte, qu'il n'est pas apte à rencontrer Dieu.

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