Alors il appela précipitamment le jeune homme son armurier, et lui dit : « Tire ton épée et tue-moi, afin qu’on ne dise pas de moi qu’une femme l’a tué. » Et son jeune homme l'a poussé et il est mort.

Reconnaissant que sa fin était proche, il ordonna à son propre porteur d'armure, un jeune homme, de tirer son épée et de le tuer. L'épée serait rengainée parce qu'il aidait à accumuler du bois près de la porte de la tour. Et le jeune homme, reconnaissant sa situation difficile, car il savait que pour un soldat mourir aux mains d'une femme serait être déshonoré, fit ce qu'on lui avait demandé. Mais la honte est entrée dans l'histoire. Le jeune porteur d'armure porterait les armes, les lances et le bouclier d'Abimélec avant un combat et combattrait aux côtés de son maître.

Il y a peut-être une sorte de justice reconnue par l'écrivain dans ce qui est arrivé à Abimélec. Celui qui avait tué ses frères sur une pierre, fut tué par une meule. Et la lapidation était la sentence imposée à ceux qui étaient condamnés à mort en Israël.

Continue après la publicité
Continue après la publicité