Psaume 49:17

Malheureusement, comme cette annonce peut se présenter à nous au premier abord, écrivant de la vanité sur tant de labeurs, d'espoirs et d'accumulations d'hommes, pourtant, à y regarder d'un peu plus près, elle n'est pas si triste qu'il n'y paraît.

I. Car, en premier lieu, qu'un homme n'emporte rien avec lui quand il meurt n'est vrai que de ses biens terrestres, qui ne sont donc pas des biens au sens le plus élevé et le plus vrai du mot. Voici donc une pensée d'encouragement, de forte consolation : que ce ne sont que les choses les plus mesquines de la terre qui se trouvent sous l'esclavage de la corruption, sur lesquelles est écrite la phrase de vanité, qui refusent d'accompagner leurs propriétaires dans ce long et dernier voyage qui , un jour ou l'autre, tout homme doit faire.

II. Même en ce qui concerne des choses terrestres, alors qu'il est tout à fait vrai qu'un homme peut porter rien d'eux avec lui quand il meurt, il peut envoyer beaucoup d'entre eux devant lui pendant qu'il vit. L'Apôtre Paul n'en déclare pas moins quand, exhortant ceux qui sont riches à être heureux de distribuer, il propose ceci comme motif, qu'ils "se prépareront ainsi une bonne base pour le temps à venir". Dieu n'est pas injuste, pour oublier la moindre de ces choses qui sont faites pour l'amour de son nom.

RC Trench, Sermons in Westminster Abbey, p. 364.

Références : Psaume 49 Expositor, 1ère série, vol. x., p. 466. 1. 1-6. Clergyman's Magazine, vol. XIX., p. 276. 1. 5, 6. G. Calthrop, Tentation du Christ, p. 311. Psaume 50:11 : Psaume 50:11 . HJ Wilmot-Buxton, Le pain des enfants, p. 95. 1. 12. DG Watt, Christian World Pulpit, vol. xxvii., p. 292.

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