Fit pour sortir pour la guerre et la bataille.

Le besoin de préparation

« Fit to go » est une expression qui renvoie à la question de la qualification. Le simple âge ne rend pas un homme apte à siéger au conseil, ou à aller au combat, ou à assumer la position de dignité. Nous devons subir la discipline, l'instruction, la mortification. Ne sortez pas tant que vous n'êtes pas qualifié. Lorsque vous serez vraiment qualifié, vous le saurez par l'utilisation d'impulsions saintes, par la pression d'une main invisible vous poussant sur la bonne voie, la voie du décret divin et de la destinée.

Aujourd'hui doit toujours être une préparation pour demain ; tout ce que nous apprenons devrait contenir quelque chose de plus que lui-même. Quand le gymnaste subit sa discipline, c'est qu'il peut utiliser sa force acquise dans d'autres et meilleures directions que le simple amusement. Que tout manger et tout boire, toute lecture et étude, toute compagnie et tout voyage aient devant eux un but élevé, un but de préparation pour la bataille et la course, pour le conflit et la souffrance. ( J. Parker, DD )

Digne pour la guerre

Le génie, disent certains, n'est qu'une capacité de travail acharné. Ce n'est pas une vérité entière ; il doit y avoir un travail conforme à la loi. Le mineur qui cherche de l'or au bord de la mer ne le trouvera jamais, bien qu'il creuse avec tant de peine ; mais s'il étudie l'or et les couches géologiques dans lesquelles il vit, il a commencé à se mettre en harmonie avec la loi. Le simple travail, s'il n'est pas correctement dirigé, revient à monter sur un cheval de bataille ; il y a de l'énergie et du mouvement, mais pas de progrès Pendant des années, Napoléon vivait en miniature les batailles qu'il allait mener, analysant les mouvements et les positions stratégiques, et entraînant son esprit à saisir ainsi une nouvelle situation sur le moment.

Von Moltke étudia la topographie militaire de toute l'Europe et, avec une merveilleuse clairvoyance, réfléchit à la manière de gagner. Sa victoire n'était pas le triomphe d'une simple fortune ou d'une inspiration spéciale. Ce n'était que le résultat logique de son esprit entraîné, et un esprit entraîné allume toujours le flambeau de sa propre inspiration. Léonard de Vinci portait toujours dans sa ceinture son carnet de croquis dans ses promenades « à Florence, constamment à la recherche de visages pittoresques ».

« Dans le silence de la nuit, il se conseillerait », rappelez-vous les idées des choses que vous avez étudiées. Concevez dans votre esprit les contours et les contours des figures que vous avez vues pendant la journée. ( Nouvelle revue scientifique. )

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