Prenez garde. .. que votre cœur ne soit pas trompé.

Religion pas de blague

I. Ne nous trompons pas dans nos idées sur Dieu.

1. Ne nous y trompons pas en pensant que notre Père céleste est en partie bon et en partie mauvais.

2. Ne laissez pas votre cœur se tromper en pensant que Dieu ne peut pas pardonner à celui qui se croit le pire. Nous agissons tous mal, dans un sens ou dans un autre ; et quand la pensée de notre péché pèse sur nos cœurs, soyons persuadés que Dieu peut nous pardonner. Mais ne vous méprenez pas sur son pardon en pensant que lorsqu'il nous pardonne, il y a une fin. Voici un tisserand négligent au travail, lançant la navette contenant la trame.

Lorsqu'elle a parcouru la moitié de la chaîne, elle découvre qu'elle a fait une erreur dans le motif, et lorsque le surveillant déroule la pièce, il découvre le défaut qui traverse l'ensemble. Bon, qu'est-ce qu'il faut faire ? Elle dit : « Oh, pardonne-moi ! » Il répond : « Je le ferai certainement ; mais vous savez qu'il doit être défait. C'est un travail fatiguant de défaire une toile de longs fils ; mais personne n'achèterait cette pièce telle quelle. Ainsi, le tisserand commence par le dernier fil et le tire d'un côté à l'autre et recommence.

De même, bien que le Seigneur nous pardonne, nous devons défaire la mauvaise vie. De même que le gentil surveillant se tient à côté du tisserand, disant : Laissez-moi vous aider, de même le Seigneur se tient à nos côtés pour nous aider à amender la toile enchevêtrée de notre vie. Alors que Dieu nous pardonne et inspire notre cœur, la rectification de ce qui ne va pas doit cependant être notre propre acte. Nous devons défaire notre mauvaise vie en recommençant.

II. Ne vous laissez pas tromper dans vos opinions concernant la religion. La religion n'est pas une théorie ; c'est l'esprit vivant de l'utilité. La religion qui ne nous inspire pas à être purs nous-mêmes et utiles aux autres n'est pas la vraie religion chrétienne ; c'est une farce. La religion réconfortera votre cœur et fera de vous une bénédiction partout où vous irez. Bien qu'il vous enseigne à lutter contre vos penchants maléfiques, il vous apprend à être bienveillant chez vous et pacifique à l'étranger.

En vous faisant descendre les marches de la vraie humilité, elle vous élève à la plus noble virilité ; et tout en vous obligeant à soumettre votre volonté à l'esprit du Christ, cela vous donne la puissance glorieuse de la ressemblance avec Dieu. Un ministre prêchait à une occasion sur la paix, faisant particulièrement référence à MM. Pincher et Stiggins, deux de ses diacres qui avaient longtemps été à la pointe du poignard. Telle était sa ferveur fidèle que toute l'assemblée fut émue, et lorsque la bénédiction fut prononcée, M.

Pincher traversa la chapelle jusqu'à l'autre et, les larmes aux yeux, remarqua : « Frère Stiggins, après un tel sermon, il doit y avoir la paix entre nous. Maintenant, je ne peux pas céder, alors vous devez le faire ! » L'autre a répondu : « Eh bien, frère Pincher, si vous ne cédez pas, je suis béni si je le veux ! » Vous voyez, ils étaient religieux en théorie mais pas dans la vie pratique.

III. Nous ne devrions pas être trompés dans nos pensées sur le monde invisible appelé paradis et enfer. Si vous avez de bonnes choses dans ce monde et que vous ne vous souciez pas des indigents, vous ne pouvez pas avoir de bonnes choses dans l'autre monde. ( W. Bouleau. )

Une mise en garde contre la tromperie

I. Un mal anticipé. Celui d'avoir le cœur trompé.

1. La rareté et l'imperfection de la connaissance humaine.

2. La tromperie du cœur.

3. La séduction du péché.

4. La tromperie du monde.

5. La tromperie du diable.

Telles sont les raisons que nous avons de croire que nos cœurs peuvent être trompés. Mais le texte suppose que cette tromperie est un mal lourd de conséquences très pernicieuses. Et cela ressort de la considération, que ceux dont les cœurs sont trompés sont impliqués dans un état de l'erreur la plus palpable. Quel commerçant souhaiterait se tromper dans ses comptes ? Quel savant ne se prémunirait contre l'erreur dans ses calculs ? Mais ces erreurs sont insignifiantes, comparées à la grave erreur dans laquelle sont impliqués ceux dont les cœurs sont trompés au sujet de leur salut et de leur Dieu. Ce n'est pas tout ; ceux dont le cœur est trompé sont exposés à un danger extrême.

II. La mise en garde contre cette tromperie. « Prenez garde à vous-mêmes », etc.

1. Soyez conscient de votre danger extrême. Considérons ce que nous sommes - à quel point nous sommes profondément déchus ! Pesons bien nos circonstances, nos dangers et nos ennemis ; cela jettera les bases de la prudence et de la circonspection.

2. Recherchez les influences illuminatrices et sanctifiantes du Saint-Esprit ; O, cherchez son influence par une prière fervente et importune. « Prenez garde à vous-mêmes. »

3. Par la pratique constante de l'auto-examen.

4. En veillant sur vous-mêmes. « Veille et prie. » «Soyez donc sobres et veillez à la prière.» « Veille en toutes choses. » La vigilance vous conduira à garder une garde stricte sur vos pensées, vos paroles, vos actions. ( Esquisse de quatre cents sermons. )

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