Maintenant, mes jours sont plus rapides qu'un poste. .. comme les navires rapides.

Illustrations de la vie

I. Le texte nous enseigne la brièveté de la vie humaine. "Mes journées sont plus rapides qu'un message." Ce sont des messagers rapides, des courriers, des moyens de communication d'une province à l'autre. Ils sont « plus rapides que les navires rapides » ; que "l'aigle se hâtant vers sa proie". Il y a des illustrations de la terre, de la mer et du ciel. On parle souvent de brièveté de la vie ; ce n'est que de temps en temps que nous sommes vraiment impressionnés par le fait.

Nos jours sont brefs comme la préface d'une vie nouvelle et éternelle. Nos journées sont brèves comme la période de la culture de toute notre nature. Comme une grande partie de la vie présente est nécessaire comme introduction au reste. Notre nature physique a besoin de croissance et de développement. Avec quelle lenteur nos facultés mentales s'ouvrent. La culture de notre nature spirituelle semble exiger une période plus longue que la vie présente, car c'est l'éducation d'une nature qui ne meurt pas ; qui emportera avec lui tout l'entraînement de la terre.

Nos journées sont brèves, quand nous pensons aux réalités solennelles avec lesquelles elles ont à faire. Nos journées sont brèves, car notre destin en dépend. En ces jours qui passent si vite, tout l'avenir est suspendu ; ces jours donnent une coloration à toute une éternité.

II. Le texte nous enseigne la nature insatisfaisante de la vie. "Ils ne voient rien de bon." "Quelles ombres sommes-nous et quelles ombres nous poursuivons."

1. Nos jours portent en eux la fraîcheur et la joie de vivre. Nos jours nous privent de la fraîcheur et de la beauté de la jeunesse, et au fur et à mesure qu'ils passent, ils emportent avec eux tout ce que nous jugeons le plus précieux : des amis, des parents, des joies, des espoirs.

2. La vie n'est pas satisfaisante, à cause du caractère fragmentaire et inachevé de son œuvre. La providence de Dieu contraste fortement avec celle de l'homme.

3. Si le présent est tout, la vie doit être des plus insatisfaisantes, car nous ne pouvons voir aucun bien.

III. Notre texte nous suggère l'importance de la vie. Nos journées sont comme un poste.

1. Ils portent avec eux les enregistrements et les impressions de notre esprit. Les pensées pour le bien ou pour le mal doivent vivre - doivent vivre pour être une bénédiction ou une malédiction.

2. Nos jours portent avec eux les trésors de nos cœurs. Quels trésors les navires rapides transportent d'une terre à l'autre ; comment ils enrichissent un pays de la richesse des autres. Nos jours portent la richesse, les affections inestimables de notre nature. ( HJ Bevis. )

La fugacité de la vie

I. Comme fait prophétique. Se peut-il que cette courte vie soit la fin de notre existence ?

1. Nous quittons cette vie avec des pouvoirs bruts. L'arbre grandit jusqu'à ce qu'il épuise ses pouvoirs latents, et les animaux ne meurent pas (à moins qu'ils ne soient détruits) jusqu'à ce qu'ils soient épuisés. Mais l'homme doit quitter cette vie juste au moment où certains de ses pouvoirs commencent à germer, et d'autres sans mesure, non développés et non accélérés.

2. Nous quittons cette vie avec des plans non réalisés.

II. Comme un fait formidable. Pour qui est-ce terrible ? À tous ceux dont le cœur est centré dans ce monde.

1. Que leur richesse leur devient relativement moins précieuse chaque jour.

2. Cette éternité devient relativement plus horrible pour eux chaque jour.

III. Comme un fait encourageant. À qui est-ce que ça applaudit? A ceux qui, bien qu'ils soient dans le monde, ne sont pas du monde, ceux qui sont nés dans le royaume divin des vertus christiques et des espérances impérissables. ( homéliste. )

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