Mais Jésus se tut.

Silence la meilleure réponse à la calomnie

On rapporte de Titus Vespasien, que quand quelqu'un parlait de lui en mal, il avait coutume de dire qu'il était au-dessus des faux rapports ; et s'ils étaient vrais, il avait plus de raisons d'être en colère contre lui-même que le rapporteur. Et le bon empereur Théodose ordonna qu'aucun homme ne fût puni s'il parlait contre lui ; que méchamment, être pardonné; quelle colère, à plaindre ; et de quoi vraiment, il le remercierait.

Oh, qu'il n'y avait qu'un tel état d'esprit dans notre siècle de mordant, où les hommes, comme l'amadou, sont prêts à prendre feu sur la moindre étincelle qui tombe, à se quereller quelquefois sur la parole la plus inoffensive qui puisse être prononcée ; alors que le meilleur moyen est de se taire.

Silence parfois la politique la plus sage

Un courtisan de la suite d'Alexandre le Grand rendit visite à l'atelier d'Apelle, le célèbre peintre, et fut reçu avec la considération due à son rang. Cela excitait sa vanité et son bavardage, qui, malheureusement, faisaient une sortie aux beaux-arts dans des questions exposant sa propre ignorance. Apelle l'interrompit longuement à mi-voix : « Vous voyez ces garçons qui broient mes couleurs ? Pendant que vous vous taisiez, ils vous admiraient, éblouis par la splendeur de la pourpre et de l'or dont brille votre habit ; mais depuis que vous avez commencé à parler de ce que vous ne comprenez pas, ils n'ont fait que se moquer de vous.

Le silence de Jésus

Nous apprenons qu'il peut souvent y avoir de la prudence, de la sagesse, de la dignité et du pouvoir.

I. Il paraîtra évident que le silence de notre Sauveur au milieu de ses ennemis était la réponse la plus efficace et la plus convenable qu'il eût pu faire à leurs accusations. Ces accusations étaient fausses et frivoles. Sa vie et sa doctrine avaient été une réponse suffisante. Aucune défense verbale n'aurait pu être aussi puissante.

II. Aucune défense verbale ne lui aurait servi à quoi que ce soit auprès de ceux qui étaient déterminés à obtenir sa condamnation. Ce n'était pas à Lui de se joindre à une guerre de mots ; Ses dernières heures devraient être tranquilles. Comme son silence réprimande solennellement la vocifération des prêtres et de la populace.

III. Il y a des saisons et des occasions où le silence pour nous-mêmes peut être meilleur que la parole, plus tranchant que l'argument, plus efficace que la réponse verbale.

1. Quand nos personnages sont attaqués. Si nous sommes assez heureux de posséder une vie qui peut nous défendre, taisons-nous pour que la vie puisse parler.

2. Le silence est souvent le meilleur reproche d'une conversation profane.

3. C'est souvent le seul reproche d'une simple locquaéité.

4. Nous avons tendance à trop parler et à trop insister sur le fait de parler. ( PWP Greenwood, DD )

Le silence de Jésus

I. Le préjugé, quelle qu'en soit la source, ne tire rien des Écritures.

II. L'indulgence habituelle dans le péché nous empêchera également d'obtenir des Écritures aucune réponse à nos questions. Les Hérodes d'aujourd'hui n'obtiennent aucune réponse du Christ.

III. L'influence du scepticisme rend les Écritures silencieuses. Pilate ne croyait pas qu'il y avait de vérité, et s'il y en avait, on ne pouvait pas le savoir. ( WM Taylor, DD )

Le silence du Christ

I. À une occasion, le Christ s'est tu en présence d'une tristesse accablante. La femme cananéenne : « Il ne lui répondit pas un mot. » C'était un cas touchant. C'était le silence de l'amour. Parfois le Christ se tait au début de la vie chrétienne ; parfois à sa fin.

II. À une autre occasion, le Christ garda le silence en présence d'enquêteurs captivants. La femme adultère. C'était un moment critique. C'était le silence de la réserve. Il y a de nombreuses occasions dans la vie où le silence est d'or. Certains hommes sont naturellement d'une disposition tranquille.

III. À une autre occasion, le Christ s'est tu en présence de souffrance personnelle. Lors de l'arrestation. C'était une scène remarquable.

1. Le temps.

2. Placer.

3. Personnes. C'était le silence de la soumission. ( JT Woodhouse. )

Le silence du Christ

I. C'était merveilleux qu'il ait pu, d'un mot, faire trembler le monde ; juge et témoins tombent morts devant lui. Pourquoi était-il silencieux ? Il n'est pas venu pour être son propre avocat, mais le nôtre.

II. Son silence était plein de souffrance, souffrance par procuration et expiation. Tous ceux qui souffrent beaucoup endurent le plus les moments où l'on n'entend aucun son de leurs lèvres. C'est un soulagement de la douleur de crier.

III. C'était inquiétant. Il préfigurait les maux. Son silence disait : « Que puis-je faire de plus pour ma vigne ? C'est un signe épouvantable lorsque le Christ cesse de plaider avec nous.

IV. Le Christ était inspiré, et donc plein d'instruction.

1. Prenez la doctrine de la divinité de notre Seigneur. Ceci est établi par une masse de preuves, mais il n'y a pas de preuve plus forte que le silence du Christ.

2. Appliquez-le à l'authenticité des Écritures de l'Ancien Testament, contre lesquelles la critique destructrice de notre époque fait des attaques si féroces, et quel argument nous trouvons.

3. Appliquez son silence à la perpétuité de la loi du sabbat, et avec quelle force elle parle.

V. Le silence du Christ était beau. Difficile de retenir la méchanceté devant les ennemis.

VI. C'est exemplaire. Le silence auto-imposé est souvent un devoir.

1. A cause des dangers de la parole.

2. A cause des bénédictions de la discipline du silence. ( JT Blackburn. )

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