La richesse du riche est sa ville forte.

Le pouvoir de l'argent

Ici, il décrit ce qui est, plutôt que de prescrire ce qui devrait être. Dans tous les âges et dans tous les pays, l'argent a été une puissance puissante, et son importance relative augmente avec les progrès de la civilisation. Il n'atteint pas le dessein divin ; mais il contrôle l'action humaine. Les Juifs exercent ce pouvoir de l'argent dans une plus grande mesure que tout autre peuple. Face à cette puissance formidable se dresse la faiblesse de contrepartie - « la destruction des pauvres est leur pauvreté.

» Cette faiblesse du corps politique est aussi difficile à traiter que ses maladies actives. Si le paupérisme n'est pas une affection aussi aiguë que le crime, il est plus répandu et exige autant des soins du médecin. En plus d'être une maladie en soi, c'est une prédisposition à d'autres maux plus dangereux. Nous sommes sous la loi de Dieu. Les roues de sa providence sont hautes et terribles. Si nous nous dressons sur leur chemin par présomption ou par ignorance, ils nous écraseront par leurs puissants mouvements.

Nous devons nous efforcer, par des arrangements sociaux, de diminuer les tentations, et par des appareils moraux de récupérer le vicieux, si nous espérons prospérer ou même exister en tant que communauté. L'argent répond à toutes choses dans sa propre province légitime d'approvisionnement matériel, mais quand au-delà de sa province vous lui demandez d'arrêter les lacunes que le vice crée, c'est une idole stupide - il n'a aucune réponse à donner du tout. Une grande partie des démunis sont à un degré plus ou moins téméraire.

En partie leur insouciance les a rendus pauvres, et en partie leur pauvreté les a rendus insouciants. Lorsqu'une multitude de pauvres se combine pour une action unie, des esprits téméraires et indifférents gagnent en influence et dirigent leur cours. L'argent, bien qu'un mauvais maître, est un bon serviteur. L'argent de l'ouvrier répondrait à toutes les fins qu'une grève envisage, si chacun, par une patiente industrie et tempérance, en gardait une part pour lui-même.

Toute la communauté des riches et des pauvres, liés entre eux dans leurs diverses relations, peut être assimilée à un corps vivant. La masse promiscuité d'êtres humains qui sont soudés ensemble par leurs besoins et leurs intérêts dans cette île est comme un fort nageur dans la mer, et hélas ! c'est trop souvent comme "un nageur fort dans son agonie". Deux vérités ressortent clairement de toute la confusion. Le monde a un Souverain juste, et le Souverain doit s'occuper d'un monde disloqué. ( W. Arnot, DD .)

La destruction des pauvres est leur pauvreté. --

La destruction des pauvres

1. Les pauvres restent pour la plupart pauvres, faute de moyens de s'élever.

2. Les pauvres sont parfois méprisés et opprimés par les orgueilleux.

3. Ils sont souvent téméraires, dépensant leur peu bêtement. Mais pour cela, les chiffres seraient plus riches.

4. Ils sont particulièrement tentés par la malhonnêteté. ( Magazine SS wesleyen .)

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