Béni soit l'homme qui m'écoute, veille quotidiennement à mes portes, attend aux poteaux de mes portes.

Assister à l'instruction publique recommandé

I. Le caractère raisonnable d'assister à tous les moyens institués de notre instruction. Si Dieu n'avait jamais accordé aux hommes une révélation positive, nous aurions été obligés de ressentir après la vertu, si par hasard nous pouvions la trouver. Et il est surprenant de voir jusqu'où certains sont arrivés sans l'aide de cette « grâce qui apporte le salut ». Mais quand il a plu à Dieu d'ériger un royaume dans le monde, c'est une grande ingratitude, un mépris odieux de l'autorité de Dieu, un affront à son amour, et ainsi doit être une folie inexcusable de négliger notre propre intérêt véritable.

II. Ce qui est importé dans l'audition. L'Écriture représente cela comme la somme du devoir et du respect que Dieu exige pour Christ qui est Sa Sagesse et le grand révélateur de Sa volonté à l'humanité. Quoi que l'on entende en entendant Christ, la Sagesse du Père, cela est enjoint et appliqué avec toute l'autorité et le pouvoir obligatoire avec lesquels tout précepte divin peut être appliqué. L'audition implique une considération sérieuse et attentive, et une application diligente de l'esprit, pour comprendre le contenu important du message divin. Nous devons comprendre en entendant...

1. Un regard attentif sur l'instruction. La Sagesse de Dieu a le premier droit d'être entendue, et ce qu'Il prescrit doit être respecté.

2. L' audition signifie une disposition soumise. Entendre, c'est se retourner contre les reproches de la Sagesse, trembler devant les menaces de Dieu, espérer en ses promesses et mettre en pratique ce qu'il enjoint.

3. Entendre la Sagesse implique une obéissance absolue et sans réserve.

III. Les bonnes dispositions d'esprit, la manière d'entendre et d'employer tous les moyens.

1. Cela signifie que nous avons constamment besoin d'instruction, afin que nous puissions encore progresser dans la connaissance et dans la grâce. Si tel est le tempérament de nos esprits, cela nous inclinera à une présence quotidienne aux portes de la Sagesse ; c'est-à-dire une utilisation quotidienne des moyens désignés pour notre augmentation de la connaissance et de la vertu.

2. Un soin et une sollicitude constants pour ne pas en perdre le bénéfice ; et en particulier une stricte vigilance sur nos propres esprits et sur tout notre comportement.

3. La patience, qui est signifiée par l'attente, est également nécessaire. Notre progression vers la connaissance religieuse et la vertu est graduelle. La patience est le caractère d'une continuation dans le bien, ainsi que des afflictions durables. Efforcez-vous toujours avec empressement et vigueur d'utiliser les moyens de notre instruction et de notre perfectionnement religieux. ( J. Abernethy, MA )

Vigilance

I. Le chemin du bonheur est d'écouter avec diligence les paroles de la sagesse.

1. Nous ne pouvons pas par nous-mêmes trouver le chemin du vrai bonheur.

2. Aucun homme ne peut nous le montrer.

II. Nous devons non seulement entendre, mais rechercher la sagesse. N'omettez aucune occasion d'apprendre et faites le meilleur usage possible de chaque occasion.

III. Nous ne devons pas seulement observer pendant un certain temps, nous devons attendre longtemps, si nous obtenons la sagesse. Ne laissez aucune place à l'oisiveté et à la paresse, de peur que vous ne deveniez incapables d'enseigner et de sagesse. ( Francis Taylor, BD )

En attendant Dieu

Une profession sans principe ne vaut rien. Celui qui n'est pas un chrétien de tous les jours n'est pas du tout chrétien.

I. Les caractéristiques d'un chrétien de tous les jours. Elles sont--

1. Auditeurs. Beaucoup entendent et n'entendent pas. Entendre implique une audition profitable. Beaucoup ne profitent pas. Ils viennent pour entendre, mais pas pour apprendre, ni pour pratiquer. Certains viennent frais des soucis du monde. D'autres viennent avec un cœur impur. Si vous voulez recevoir du bien en fréquentant la maison de Dieu, il doit y avoir un désir d'en profiter ; et avec une foi vive.

2. Ils sont des observateurs. Cela implique la fréquence, la persévérance, l'abnégation, l'abaissement de soi et un certain degré d'anxiété.

3. Ils « attendent aux poteaux de ses portes ». C'est-à-dire, fréquentez ces endroits, et fréquentez-les fréquemment, où Christ est attendu.

II. Un tel homme ne perdra jamais sa récompense.

1. Il trouve la vie. Saint Jean dit : « Celui qui a le Fils a la vie. Trouver le Christ, c'est trouver la vie. Trouver Iris implique le pardon. Avec le pardon, nous avons la paix.

2. La récompense consiste en la faveur de Dieu. Cette faveur est durable. Il soutient le pécheur dans le temps de sa détresse.

Cours:

1. Bien que vous puissiez être un auditeur, un observateur, un serviteur de Christ, vous devez vous attendre à vos épreuves. Ne vous étonnez ni du nombre ni du degré de vos épreuves.

2. Veillez à venir dans l'esprit de prière et de foi. ( H. Montagu Villiers, MA )

En attendant aux portes de la Sagesse

La Bible parle rarement, et certainement jamais ses paroles les plus profondes et les plus douces, à ceux qui la lisent toujours à la hâte. La nature ne peut dire ses secrets qu'à ceux qui restent assis dans son temple sacré, jusqu'à ce que leurs yeux perdent l'éclat de la gloire terrestre et que leurs oreilles soient à l'écoute de sa voix. Et la révélation fera-t-elle ce que la nature ne peut pas ? Jamais. L'homme qui obtiendra la bénédiction de l'entendre doit veiller quotidiennement à ses portes et attendre aux poteaux de ses portes. ( FB Meyer. )

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