Alors s'approchèrent les chefs des pères des Lévites jusqu'au sacrificateur Éléazar, et vers Josué, fils de Nun, et vers les chefs des pères des tribus des enfants d'Israël;

Ver. 1. Puis vinrent près des têtes des pères. ] Certains sont d'avis que le chef des sacrificateurs et des Lévites a demandé ici leur dû alors qu'on n'y pensait pas, mais par une grande négligence, ils ont été ignorés dans la division. Mais d'autres, pour une meilleure raison, soutiennent qu'ils se sont approchés maintenant à la bonne saison, parce qu'ils devaient avoir leurs villes et leurs héritages parmi les différentes tribus et portions qui leur avaient été attribuées, qu'ils avaient aussi de très bonne volonté, et à un proportion très juste.

Une fois parmi nous, le statut de Mainmorte prévoyait que les hommes ne devaient plus donner à l'église ; si libéraux étaient nos ancêtres envers leur clergé. Mais tempora mutantur ; ces derniers temps ont vu les sources de la générosité, comme le Jourdain, se retourner, qui jusque-là pénétraient rapidement et fraîchement dans l'église. Combien les hommes sont-ils aptes à contester Dieu avec les siens et à reprocher à ses ministres une subsistance suffisante ; de ne laisser au bœuf que la paille pour fouler le grain, et autant de paille qu'il leur plaira ! C'est un signe certain d'un dévouement haletant et d'une maudite convoitise, comme le dit ce grand apôtre.

2Co 9:5 Les Lévites, sous la loi, avaient un entretien libéral et honorable par le propre rendez-vous de Dieu. En plus de tout le reste de leurs revenus sous forme de sacrifices, d'offrandes volontaires, etc., ils ont ici leurs villes pour y habiter, avec leurs banlieues pour leur bétail, et celles qui leur sont dues en vertu du commandement de Dieu, que seul, et pas le peuple, ils devaient reconnaître pour leur bienfaiteur.

Il n'a pas non plus pris plus de dispositions pour les ministres de l'Évangile qu'il ne l'a fait pour les prêtres de la loi. Voir 1 Corinthiens 9:13,14 . Mais beaucoup ont appris de Julien l'apostat, pour enlever l'entretien des ministres, en feignant la conscience, car que trop de vie était un fardeau pour eux, et un obstacle à leur ministère.

Continue après la publicité
Continue après la publicité