Ils montent par les montagnes ; ils descendent par les vallées jusqu'au lieu que tu leur as fondé.

Ver. 8. Ils montent par les montagnes ] Ils courent n'importe où, en toute hâte, traversant vents et marées, et ne se reposant nulle part, jusqu'à ce qu'ils s'incarnent dans l'abîme, leur lieu et station élémentaires. C'est un frein à notre stupidité et à notre désobéissance. Si un homme avait été présent, dit l'un, lorsque Dieu ordonna ainsi aux mers de se retirer de la terre, il aurait pu voir un spectacle à la fois terrible et joyeux.

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