1-14 Ce chapitre est un très grand exposé de deux mots, la bénédiction et la malédiction. Ce sont des choses réelles et ont des effets réels. Les bénédictions sont ici mises avant les malédictions. Dieu est lent à la colère, mais prompt à faire preuve de miséricorde. C'est son plaisir de bénir. Il vaut mieux que nous soyons attirés vers ce qui est bon par une espérance enfantine de la faveur de Dieu, que d'y être effrayés par une peur servile de sa colère. La bénédiction est promise, à condition qu'ils écoutent avec diligence la voix de Dieu. Qu'ils maintiennent la religion, la forme et la puissance de celle-ci, dans leurs familles et leur nation, alors la providence de Dieu prospérerait toutes leurs préoccupations extérieures.

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