23-34 Les soixante-dix anciens d'Israël assistent à Moïse. Il est de notre devoir de faire ce que nous pouvons pour accepter et soutenir une autorité légale lorsqu'elle est opposée. Et ceux qui ne voulaient pas périr avec les pécheurs doivent sortir du milieu d'eux et être séparés. C'est en réponse à la prière de Moïse que Dieu a incité les cœurs de la congrégation à se retirer pour leur propre sécurité. La grâce de se séparer des malfaiteurs est l'une des choses qui accompagnent le salut. Dieu, en justice, a laissé les rebelles à l'obstination et à la dureté de leur propre cœur. Moïse, par la direction divine, alors que tout Israël attendait l'événement, déclare que si les rebelles meurent d'une mort commune, il se contentera d'être appelé et compté comme imposteur. Dès que Moïse eut prononcé la parole, Dieu fit ouvrir la terre et tous les engloutir. Les enfants ont péri avec leurs parents; dans lequel, bien que nous ne puissions pas dire à quel point ils pourraient être mauvais de le mériter, ou à quel point Dieu pourrait leur être autrement; pourtant de ceci nous sommes sûrs, que la Justice Infinie ne leur a pas fait de mal. C'était tout à fait miraculeux. Dieu a, quand il lui plaît, d'étranges châtiments pour les ouvriers d'iniquité. C'était très important. Compte tenu du fait que la terre est encore de la même manière chargée du poids des péchés de l'homme, nous avons des raisons de nous demander qu'elle ne sombre pas maintenant sous sa charge. La ruine des autres devrait être notre avertissement. Pourrions-nous, par la foi, entendre les cris de ceux qui sont descendus dans le gouffre sans fond, nous devrions donner plus de diligence que nous ne le faisons pour échapper à nos vies, de peur que nous ne soyons aussi condamnés.

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