Samson a appelé — Cette prière n'était pas un acte de méchanceté et de vengeance, mais de foi et de zèle pour Dieu, qui était là publiquement déshonoré ; et la justice, en faisant valoir toute la richesse commune d'Israël, ce qui était son devoir, car il était juge. Et Dieu, qui n'écoute pas les pécheurs, et n'utiliserait jamais sa toute-puissance pour satisfaire la méchanceté d'un homme, s'est manifesté par l'effet qu'il a accepté et reconnu sa prière comme le commandement de son propre Esprit.

Et que dans cette prière il ne mentionne que son injure personnelle, et non leurs indignités envers Dieu et son peuple, doit être attribué à ce soin prudent qu'il avait, en d'autres occasions, de tirer la rage des Philistins sur lui seul, et de détourner cela du peuple. Pour quelle fin je conçois que cette prière a été faite avec une voix audible, bien qu'il sache qu'ils ne la divertiraient qu'avec mépris et rire.

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