16. Mais merci à Dieu qui a mis. Pour qu'il puisse quitter les Corinthiens sans excuse, ajoute-t-il maintenant longuement, qu'il leur avait été prévu des prompteurs actifs, qui s'occuperaient de l'affaire. Et, en premier lieu, il nomme Titus, qui, dit-il, avait été élevé divinement. C'était d'une grande importance dans l'affaire. Car son ambassade aurait d'autant plus de succès, si les Corinthiens le reconnaissaient comme étant venu à eux, pour y avoir été excité par Dieu. De ce passage, cependant, comme d'innombrables autres, nous déduisons qu'il n'y a pas d'affections pieuses qui ne procèdent de l'Esprit de Dieu; (685) et plus loin, que c'est une preuve de la préoccupation de Dieu pour son peuple, qu'il suscite des ministres et des gardiens, pour qu'ils s'efforcent de soulager leur nécessités. Mais si la providence de Dieu se montre ainsi, en fournissant les moyens de nourriture pour le corps, combien plus grand soin exercera-t-il sur les moyens de nourriture spirituelle, afin que son peuple n'en soit pas dépourvu! C'est donc Son travail spécial et particulier pour élever des pasteurs. (686)

Continue après la publicité
Continue après la publicité