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29. Qui j'ai perçu En ce lieu, il acquitte Paul, dans la mesure où son jugement le peut atteindre. Mais notons qu'un homme profane parle. Car parmi le peuple de Dieu, c'est une offense qui ne mérite pas moins de châtiment, de corrompre la doctrine de la piété par des opinions méchantes et fausses, que de nuire ou de commettre la méchanceté parmi les hommes. Les Romains n'auraient pas laissé leurs superstitions, ou régné les cultes de leurs dieux, être la liberté; - (558) mais dans la mesure où ils ne faisaient aucun compte de la loi de Dieu, oui, vu qu'ils étaient désireux d'avoir la même chose tout à fait éteinte, c'était parmi ils n'ont plus aucune faute à croire Moïse et les prophètes, ou à troubler l'Église avec de fausses opinions. Par conséquent, il y avait une loi, que les gouverneurs ne devraient pas se mêler de telles questions; mais que ceux qui habitaient dans les provinces conserveraient ainsi leur religion, que si quelque chose était fait contraire à la même chose, les magistrats romains ne se mêleraient pas de la punir. C'est la raison pour laquelle le capitaine en chef pense que ce n'est pas une offense d'avoir soulevé des questions concernant la loi. Et sous la couleur de ceci, les hommes sans instruction se verront accorder un congé pour eux-mêmes et pour les autres pour causer des ennuis. Le Seigneur dit bien autrement, qui punit plus sévèrement la violation de son culte, que toutes les blessures faites aux hommes. Et rien n'est sûrement plus absurde que de laisser échapper ceux qui volent Dieu de son honneur, - (559) voir le vol est puni. Mais comme le capitaine en chef ne se soucie pas de la religion juive, de même les fausses accusations et calomnies des Juifs sont réfutées, dont elles auraient volontiers accablé Paul. -

" Convelli ," à arracher, à éradiquer.

" Quam sacrilegiis impunitatem ose ," que de laisser les blasphémateurs s'échapper sans punition.

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