1. Vous ne recevrez pas (marge) a faux rapport . Il pourrait également être traduit, Tu ne seras pas lever , ou remuer : et, si ceci soit préféré, Dieu nous interdit d'inventer des calomnies; mais, si nous lisons, Tu ne recevras pas, Il ira plus loin, i e . , qu'aucun ne devrait chérir ou confirmer le mensonge d'autrui par son soutien. Car il a été dit que le péché peut ainsi être commis de deux manières: soit lorsque les méchants inventent de fausses accusations, soit lorsque d'autres personnes trop crédules s'y associent avec empressement; et donc l'un ou l'autre des sens serait très applicable, que les auteurs originaux sont condamnés, qui font un faux rapport, ou ceux qui aident sur leur méchanceté, et lui donnent, pour ainsi dire, leur approbation. Mais, comme il suit immédiatement, «ne mets pas la main avec eux», j'embrasse volontiers la version «Tu ne recevras pas», afin que les deux clauses se combinent le mieux. En effet, Moïse utilise ce mot avec une grande convenance, car un mensonge ne viendrait bientôt à rien de sa propre vacuité, et tomberait au sol s'il n'était pas repris et soutenu par le consentement injuste des autres. Dieu, par conséquent, rappelle à Son peuple cette conspiration méchante, (167) de peur que, par leur aide, ils ne répandent à l'étranger de fausses accusations; et appelle ces faux témoins qui trafiquent leurs voisins en prêtant la main aux impies: parce qu'il n'y a que peu de différence entre soulever une calomnie et la maintenir.

Si l'on juge préférable de restreindre le deuxième verset aux juges, ce serait un supplément au sixième commandement ainsi qu'au huitième, à savoir qu'aucun ne devrait volontairement céder la place aux opinions injustes des autres, ce qui pourrait affecter les moyens. ou la vie d'une personne innocente. Mais, dans la mesure où l'erreur de ceux qui sont trop crédules en est réprimée, d'où il vient que le mensonge prévaut et que les calomniateurs jettent ce qui est clair dans l'obscurité, il trouve ici sa place. (168)

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