Marc 5:6 Je l'ai adoré (549) La disposition du récit peut être ainsi énoncée. Lorsque les démoniaques sont venus à sa rencontre, le Christ a ordonné à les esprits impurs de sortir d'eux, , puis ils ont prié et ont supplié qu'il ne le ferait pas les tourmenter avant le temps L'adoration , donc, n'a pas précédé les paroles du Christ: ni ne se sont plaints que le Christ a donné leur malaise, (550) jusqu'à ce qu'il les exhorte à sortir. Nous devons être conscients qu'ils ne sont pas venus d'eux-mêmes en présence du Christ, mais ont été attirés par un exercice secret de son autorité. Comme ils avaient autrefois été habitués à emmener les hommes, dans une violence furieuse, vers les tombes, maintenant une puissance supérieure les oblige à comparaître à contrecœur devant le tribunal de leur juge.

Nous en déduisons donc que tout le royaume de Satan est soumis à l’autorité du Christ. (551) Car les démons, lorsque le Christ les appelle à comparaître devant lui, ne sont pas plus à leur disposition que les misérables que leur tyrannie avait coutume de faire conduire dans tous les sens. Enfin, par la puissance secrète du Christ, ils sont entraînés devant lui, afin qu'en les chassant, il puisse prouver qu'il est le libérateur des hommes. À contrecœur aussi, ils l'adorent et leurs plaintes rebelles témoignent que leur confession n'a pas été faite par choix, mais a été tirée d'eux par la force.

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