16. Et le quatorzième jour. Il est vrai que l'instruction donnée ici a quelque rapport avec la fête de la Pâque, mais puisque les sacrifices sont manifestement traités et qu'aucune mention n'est faite de ses autres observances, sauf à cet endroit, Je l'ai relié au sacrifice continu, comme son concomitant ou sa partie. Moïse fait brièvement référence, en effet, à ce que nous avons déjà vu, c'est-à-dire que le peuple doit s'abstenir de levain pendant sept jours et manger du pain sans levain; mais il descend ensuite au point principal dont il a proposé ici de traiter, à savoir, que le peuple doit tuer deux taureaux comme un holocauste, un bélier et sept agneaux, avec une chèvre pour un sacrifice pour le péché; et que ce sacrifice devrait être répété pendant toute la semaine. Afin donc que la révérence payée à la Pâque soit accrue, ce sacrifice extraordinaire s'ajoutait au sacrifice continu, en partie pour qu'ils soient ainsi de plus en plus stimulés à se consacrer à Dieu; en partie pour qu'ils puissent reconnaître à quel point il les avait embrassés familièrement avec sa faveur, dans la mesure où il prenait ces offrandes de leurs troupeaux et de leurs troupeaux, et exigeait que la fête sacrée soit préparée pour lui hors de leurs caves et greniers également; en partie aussi, se déclarant dignes de la mort éternelle, ils devraient voler vers Lui pour demander pardon, et en même temps devraient comprendre qu'il n'y avait qu'un seul moyen de réconciliation, ie, quand Dieu devrait être propité par le sacrifice.

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