4. Ô mon Dieu! délivre-moi de la main du méchant. Ici, il utilise le nombre singulier; mais il ne doit pas être compris comme désignant un seul homme. (102) Il est fort probable qu'il comprend toute l'armée des ennemis qui l'ont agressé. Nous avons eu ailleurs l'occasion d'observer combien il contribue à nous inspirer la confiance d'obtenir nos demandes, lorsque nous sommes si assurés de notre propre intégrité, que de pouvoir nous plaindre librement devant Dieu que nous sommes injustement et méchamment agressés par notre ennemis; car nous ne devons pas douter que Dieu, qui a promis de devenir le défenseur de ceux qui sont injustement opprimés, entreprendra, dans ce cas, notre cause.

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