L'écrivain considère la captivité d'Israël comme le fait que Dieu «les a chassés de sa vue» (voir 2 Rois 17:18, 2 Rois 17:2 ); et note que cette punition extrême, bien qu’elle soit méritée, n’a pas encore été autorisée par la miséricorde de Dieu.

Continue après la publicité
Continue après la publicité