Sur.. contre] RV 'sur.. sur.' L'aspect de Dieu est le même pour chacun, c'est l'homme qui transforme la « grâce » en « colère » : cp. Exode 14:24 .

C (i) 1 Pierre 3:13 ;, traite principalement de la foi, (ii)1 Pierre 4:1avec conduite. Elle fait ressortir une doctrine de plus en plus profonde au fur et à mesure qu'elle traite du but et du sens de la souffrance. « Qui vous fera du mal si vous êtes zélé pour le bien ? Même si vous deviez souffrir pour la juste cause, vous seriez béni. Prenez en vous l'ancien encouragement d'Israël. Entrez dans son sens le plus complet en utilisant l'interprétation des paroles anciennes que la vie du Christ a données, et sanctifiez-le dans vos cœurs, bien que sous une forme visible vous ne puissiez pas le voir, comme le Seigneur dont parlait le psalmiste. Soyez prêt à répondre à quiconque vous interroge sur cette espérance qui est en vous, et qui lui paraît si étrange ; mais répondez docilement, et souvenez-vous que, bien que vous n'ayez pas à le craindre, vous craignez Dieu. Ayez donc bonne conscience. Votre propre espoir mourra si vous n'avez pas cela,

De même que Christ l'a fait, car il a souffert, le juste pour l'injuste, afin qu'il puisse ainsi nous amener nous qui étions parmi les injustes à Dieu. Ses souffrances en étaient le moyen. Par la souffrance de la mort dans sa chair, il est entré dans une vie plus large dans son esprit et a fait un voyage que personne ne pouvait faire dans la chair, et comme un esprit prêché aux esprits. Pour nous une autre voie de salut est désignée. Le temps où ces esprits vivaient sur terre préfigurait les temps du Christ. De même que Dieu préparait alors un lieu à l'abri de la destruction, en ordonnant à Noé de construire une arche dans laquelle huit personnes furent mises en sécurité à travers les eaux dangereuses du déluge, ainsi maintenant nous avons la communion de Christ dans laquelle nous sommes amenés par le baptême, c'est-à-dire par la résurrection du Christ qui fut le résultat de sa mort douloureuse. Baptême, elle-même une étape douloureuse à franchir pour le converti dans un pays païen, est en effet notre participation à la mort et à la résurrection du Christ ; pas si, cependant, si nous la considérons comme une simple forme, mais vraiment si, si nous la recevons avec une bonne conscience, qui, alors que nous nous soumettons au lavage symbolique, appelle Dieu à l'accepter par la résurrection de Jésus-Christ. , qui a achevé son œuvre rédemptrice en montant au ciel dans la perfection de sa nature humaine et divine, et siège suprême, comme le Psalmiste l'a prophétisé, à la droite de Dieu.'

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