Ils firent une conspiration contre lui, c'est- à -dire le peuple, les princes, et les chefs parmi eux firent cela ; peut-être ceux dont il avait livré les fils en otages à Joas. Il est probable que cette conspiration a été formée avec la connivence, sinon l'approbation, du peuple, parce que le dessein a été exécuté ouvertement, fermement et irrésistiblement, comme le montrent les mots suivants. « Ce qui a provoqué le peuple de Jérusalem, plus que toute autre partie de la nation, contre leur roi, c'est de voir leur ville dépouillée de ses plus beaux ornements, exposée au reproche à cause de la grande brèche faite dans leur mur, et plusieurs de leurs des enfants emmenés en otages pour leur bonne conduite ; tout ce qu'ils imputaient aux mauvaises administrations de leur roi », et c'est pourquoi ils entrèrent dans cette conspiration contre lui. Et il s'enfuit à LakisUne ville forte en Juda, vers le pays des Philistins. Combien de temps il est resté caché ou abrité là-bas, nous ne le savons pas.

Certains commentateurs ont conjecturé, « qu'il a vécu dans un état d'exil dans cette ville pendant douze ans, ne supportant pas de continuer à Jérusalem après la défaite que Joas lui avait donné. Mais notre savant huissier a placé cette conspiration dans la dernière année du règne d'Amatsia ; et Capellus suppose qu'il a été mis sur pied par les grands de Jérusalem, sous le prétexte spécieux d'être les gardiens du jeune prince, et de mieux prendre soin de lui que son père n'était susceptible de le faire. Dodd. Ils Ses sujets rebelles ; envoyés après lui à Lakish. Envoyèrent, pensent certains, des meurtriers secrets, mais, plus probablement, des bandes de soldats, car cette rébellion a été menée avec force et force ouverte. Et ils l'amenèrent sur des chevaux ou, avec des chevaux, à savoir, dans un char; et il fut enterré à Jérusalem. Car la rage des rebelles ne s'étendit pas au-delà de sa mort, et ils ne lui refusèrent pas non plus un enterrement avec ses ancêtres.

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