Le serviteur dit : Hélas ! mon maître Peut-être que les Syriens avaient assuré les habitants qu'ils ne leur voulaient aucun mal, mais qu'ils étaient seulement venus prendre Elisée ; ce que le jeune homme entendit, fut mis dans une grande peur : car, n'ayant probablement pas été longtemps avec le prophète, (n'étant pris à son service que depuis le renvoi de Guéhazi,) et n'ayant encore vu aucune de ses œuvres merveilleuses, il se donna et son maître pour les hommes perdus. Comment allons-nous faire ? Il ne sert à rien de penser ni à combattre ni à voler, mais nous devons inévitablement tomber entre leurs mains.

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