C'est pourquoi je haïssais la vie. Ma vie, bien qu'accompagnée de tant d'honneur, de plaisir et de sagesse, était un fardeau pour moi, et j'étais prêt à souhaiter soit ne jamais être né, soit mourir rapidement ; parce que le travail, etc., est pénible. Tous les desseins et tous les travaux humains sont si loin de me donner satisfaction, que leur considération augmente mon mécontentement. Je haïssais tout mon travail. Toutes ces richesses et bâtiments, et autres fruits de mon travail, étaient des aggravations de ma misère.

Parce que je devrais le laisser , &c. Parce que je dois, et cela pour toujours, les laisser tous derrière moi. Et qui sait s'il sera sage ou insensé ? Qui défaire tout ce que j'ai fait, et transformer les effets de ma sagesse en instruments de sa folie. Certains pensent qu'il avait une telle opinion de Roboam.

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