Car il n'y a personne comme toi Ce verset serait mieux rendu, ô Seigneur, tu es grand, de sorte qu'il n'y a personne comme toi, et ton nom est grand, à cause de ta puissance. Qui ne te craindrait pas ? Au contraire, qui ne te révèrerait pas ou ne te craindrait pas ? Car il t'appartient, c'est-à -dire, comme certains interprètent l'expression, Il t'appartient d'être craint et révéré ; c'est à toi qu'il faut la crainte et le respect. L'hébreu, cependant, peut être rendu, qui ne te craindrait pas quand il viendra , ou s'approchera de toi ? en conséquence Blaney traduit le verset ainsi :Qui ne te craindrait, ô roi des nations, quand il s'approchera de toi ? Car, parmi tous les plus sages des nations et dans tous leurs royaumes, il est semblable à toi sur la clause, parmi les plus sages des nations , il observe: « Ces mots peuvent signifier, soit toutes les nations qui ont été les plus distingués pour la culture et l'amélioration de leurs facultés rationnelles ; ou bien ces individus sages parmi eux, de la science et de la philosophie desquels on aurait pu attendre de meilleures notions de Dieu et de la religion que du vulgaire grossier et illettré. Et pourtant, le fait était que toute leur sagesse et leur connaissance vantées n'avaient pas réussi à les conduire à un objet d'adoration, correspondant à un degré quelconque aux perfections infinies et à la majesté de la nature divine.

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