Le Seigneur m'a gardé en vie ces quarante-cinq ans dont trente-huit ont été passés dans le désert, et sept depuis qu'ils sont entrés en Canaan. Plus nous vivons longtemps, plus nous devrions être sensibles à la bonté de Dieu envers nous en nous gardant en vie ! De son souci à prolonger nos vies fragiles, de sa patience à prolonger nos vies perdues ! Et la vie ainsi gardée par sa providence ne sera-t-elle pas consacrée à sa louange ? Je suis aussi fort aujourd'hui , &c. Bien qu'âgé de quatre-vingt-cinq ans, il était aussi vif et fort qu'à quarante ans. Comme ma force était alors c'est maintenantC'était le fruit de la promesse, et c'était au-delà de ce que Dieu avait exprimé ; car Dieu ne donne pas seulement ce qu'il promet, mais plus encore. S'il promet la vie, il ajoutera la santé et la force, et tout ce qui fera de la vie promise une bénédiction et un réconfort.

Ce Caleb mentionne ici à la gloire de Dieu, et comme une raison pour lui demander une portion qu'il doit sauver des mains des géants. Pour la guerre Non seulement pour le conseil, mais pour l'action ; pour marcher et combattre. Et par conséquent, ce don ne sera pas rejeté sur une personne inutile et inutile. Sortir et entrer Pour faire tous les devoirs de ma place. Moïse avait dit qu'à quatre-vingts ans, même notre force était le travail et le chagrin. Mais Caleb faisait exception à cette règle : à quatre-vingt-cinq ans, sa force était encore l'aisance et la joie. Il l'a obtenu en suivant pleinement le Seigneur.

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