Le troisième jour, la chair sera brûlée au feu De peur qu'elle ne se putréfie, et soit ainsi exposée au mépris, et pour empêcher leur méfiance de la providence de Dieu, ou se livrer à une disposition cupide, en réservant à un usage domestique ce qui doit être donné à leur amis ou les pauvres. Si mangé du tout le troisième jour, il ne sera pas accepté. Dans ce cas, non seulement le sacrifice est devenu sans valeur, mais l'offrant s'est rendu coupable d'un nouveau délit. Cela ne lui sera pas non plus imputé pour un service agréable à Dieu, mais compté comme si cela n'avait pas été offert du tout.

Tout ce qui n'est pas de la foi est péché ; et cela ne peut pas être de la foi qui n'a pas la sanction de l'autorité de Dieu, expresse ou implicite, et qui n'est pas faite selon sa volonté. Ce n'est donc pas acceptable pour lui.

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