J'ai commandé aux Lévites de se purifier parce que l'œuvre sur laquelle ils étaient maintenant déterminés, bien que de nature commune, était pourtant saint dans son dessein, et respectait le sabbat ; et, parce que le jour où ils devaient c'était le jour du sabbat, pour l'observation de quoi ils étaient obligés de se purifier ; qu'ils devraient venir garder les portes Les portes de la ville : n'osant pas se fier aux porteurs ordinaires, et pensant que les Lévites, en raison de leur caractère, seraient plus vénérés, et rencontreraient plus de déférence et de respect que ses domestiques , il les a donc nommés à cet office de garder les portes le jour du sabbat, afin que tout trafic puisse être empêché, et que le jour ne manque pas d'être sanctifié, comme il devrait l'être.

mon Dieu, épargne-moi selon la grandeur de ta miséricorde. Par ceci, il laisse entendre que, bien qu'il ait mentionné ses bonnes œuvres comme des choses dont Dieu était bien content et qu'il avait promis de récompenser, il n'a cependant ni fait ni osé se fier à leur mérite ou à sa propre dignité, mais, quand il avait tout fait, il se jugeait un serviteur inutile, et qui avait besoin de la miséricorde infinie de Dieu pour pardonner tous ses péchés, et particulièrement les infirmités et les corruptions qui adhéraient à ses bonnes actions.

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