Car quelle gloire est-ce, etc. — On peut dire : « N'est-ce pas une gloire pour un homme qui a fait une faute de subir patiemment son châtiment ? cas, se tromper ? Et par conséquent la patience et la soumission ne doivent-elles pas être une vertu ? Quand Dieu nous punit pour nos péchés, notre patience envers Lui n'est-elle pas un sacrifice d'une odeur odorante par Christ ! Et en proportion, la patience d'un esclave , quand justement puni par son maître, doit avoir été préférable au comportement contraire, et dans une certaine mesure digne d'éloges.

« La vraie solution, c'est que saint Pierre ne parle pas ici de façon absolue, mais relative ; c'est-à-dire : « Il y a très peu d'éloges dans le fait qu'un homme coupable souffre patiemment la juste récompense de son acte ; en comparaison d'une souffrance d' une personne innocente patience, et d'un regard consciencieux Tothe la volonté de Dieu, un tel traitement préjudiciable qu'il peut rencontrer chez les hommes. » La version syriaque rend la dernière phrase de ce verset, alors ta récompense ou la louange avec Dieu excelle ou abonde :laissant entendre qu'il est dans une certaine mesure louable de souffrir avec patience une punition que les hommes ont méritée ; mais sans comparaison avec la vertu bien plus grande de souffrir patiemment des blessures qu'elles n'ont pas méritées. L'empereur Antonius le cite comme un excellent dicton d'Antisthène, « Qu'il est vraiment royal de faire le bien, et d'être reproché.

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