Ver. 44. Vous a chassé, comme le font les abeilles - Le syriaque, l'onkelos et un arabe MS. que Bochart a vu en Suède, l'ont, comme font les abeilles lorsqu'elles sont irritées par la fumée. Il est bien connu que la fumée est appliquée pour chasser ces insectes de leurs ruches ; et comme alors les abeilles, furieuses, s'unissent et tombent avec impétuosité sur ceux qui osent ainsi les déloger, Moïse en tire une comparaison élégante pour exprimer le nombre et la vivacité des Amoréens, qui vinrent tout à coup sur les Israélites, se proposant hardiment de les déposséder. Le Psalmiste utilise une expression similaire,Psaume 108:12 et les auteurs profanes se sont, pour ainsi dire, efforcés d'imiter la métaphore.

Voir Vierge. AEn. 12 : v. 587. Q. Smyrneus, lib. 3: bouchon. 220. Lycophron. ver. 180, etc. C'est aussi très expressif. L'abeille, quoique petite, est un animal plein de feu et de courage : les Rauciens, peuple de Crète, étaient jadis obligés de leur céder la place, en leur cédant leur ville. AElian de Animal. lib. 17 : chapeau. 35. Lorsque Lucullus assiégea Thémiscyrus, les assiégeants opposèrent à ses sapeurs des essaims d'abeilles ; (Appian, de Bell. Mithrid.) et ensuite le même artifice se renouvela plus d'une fois en des occasions semblables, avec le même succès. Voir Bochart Hiéroz. par 2: lib. 4 bouchons. 10 et la Physique sacrée de Scheuchzer, tom. 4:

Et vous a détruit à Séir Les Amoréens n'ont pas attaqué les Israélites à Séir, mais dans leurs propres montagnes, où ils étaient montés. Il devrait donc être rendu, de Seir ; pour exprimer qu'après que les Amoréens eurent chassé les Israélites de leurs montagnes, ils les poursuivirent en s'enfuyant à Séir, jusqu'à Hormah. La LXX, la Vulgate et la Syr. le rendre de Seir.

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