Ver. 12. Une terre dont l'Éternel, ton Dieu, prend soin Une terre dont l'Éternel, et non l'homme, pourvoit. Les expressions de ce verset sont tirées du soin particulier et extraordinaire du cultivateur, qui, du commencement de l'année à la fin, veille d'un œil attentif sur sa terre, et prend toutes les mesures prudentes et convenables pour la rendre fertile. La Palestine était donc particulièrement sous l'œil de Dieu, son accroissement ou sa stérilité venant immédiatement de lui, à mesure que le peuple obéissait ou désobéissait à ses commandements.

Ce Houbigant lirait à l'avenir ; une terre dont le Seigneur ton Dieu prendra soin, et sur laquelle ses yeux seront toujours; car, avant que les Israélites aient possédé Canaan, dit-il, l'Éternel n'en avait pas plus que l'Égypte ; mais il n'y a rien de plus commun avec les écrivains sacrés, que de parler de l'avenir dans le présent.

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