Une lamentation pour les princes d'Israël — L'expression fait allusion aux chants lugubres chantés aux funérailles. Ce chapitre est de cette espèce que l'évêque Lowth appelle « paraboles poétiques ». Le style en lui-même est excellent et l'allégorie bien soutenue. Houbigant, au lieu de princes, lirait après la LXX, le prince ; une lecture que les observations suivantes semblent tolérer.

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