Je suis la porte des brebis. — Comme la parabole de notre Seigneur n'a pas été comprise, il se met gracieusement à l'expliquer à son auditoire ; et en premier lieu il les informe que par la porte il voulait dire lui-même. Je suis la porte des moutons. C'est peut-être une métonymie car je suis la porte de la bergerie ; ou le sens de notre Seigneur peut avoir été : « Je ne suis pas seulement la porte par laquelle les bergers doivent entrer, celui dont seul le droit est d'admettre les hommes à la fonction et à la dignité de bergers ; mais je suis aussi la porte des brebis. .

C'est par moi que les hommes entrent dans l'enceinte spirituelle de l'église. » Il serait très impertinent de faire ici un long parallèle entre Christ et une porte : la ressemblance se concentre clairement dans cette seule circonstance, qu'en tant qu'homme doit observer et traverser la porte, afin de faire une entrée insoupçonnée dans une bergerie : il doit donc garder une considération appropriée pour Christ, afin d'être un véritable enseignant dans l'église ; et doit passer pour ainsi dire par lui, ou par C'est par une comparaison qui ressemble à peu près à celle-ci, que le Christ s'appelle ailleurs le chemin, Ch. Jean 14:6 .

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