À la fin, il mord, etc. — « Souviens-toi que le plaisir sera enfin accompagné de douleurs intolérables quand il agit comme autant de poison dans tes veines, et te jette dans des troubles aussi aigus, et des maladies aussi difficiles à guérir, que le la morsure d'un serpent ou la piqûre d'un basilic ; » (car c'est ainsi que le dernier mot doit être rendu.) Voir l'évêque Patrick. M. Prior a ainsi finement exprimé les méfaits de l'ivresse dans son poème intitulé Salomon :

Malheureux ! que la douleur ainsi et la rage Pour différents maux engagent alternativement ; Qui boit, hélas ! mais oublier; ni ne voit que la mélancolie, la paresse, la maladie grave, la pensée confuse et interrompue, les signes avant-coureurs de la mort, reposent latentes dans le courant d'air : les serpents roulent.

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