Ensuite, les magiciens ont dit à Pharaon, c'est le doigt de Dieu, ... Ceci doit être attribué à une puissance supérieure à l'homme, à un pouvoir divin; Tant qu'ils pouvaient faire quelque chose de similaire, ou imposer aux sens des hommes, et à les faire croire qu'ils ont fait comme ça, ils ne reconnaissaient pas la toute-puissance de l'omnipotence divine; mais quand ils ne pouvaient plus tromper la vue de Pharaon et de l'Égyptien, ils possèdent les effets d'une puissance supérieure: et ce qu'ils ont fait en partie pour nuire à la puissance de Moïse et d'Aaron, car ils ne les auraient pas plus habiles personnes dans l'art magique qu'eux-mêmes; et suggère donc que cela n'a été fait pas en vertu d'une compétence et d'un art humain, mais par le pouvoir de l'être suprême; et en partie pour nuire à l'honneur du Dieu d'Israël; Car ils ne disent pas que c'est le doigt de Jéhovah, qu'ils ont comptabilisé, alors que le Dr Lightfoot G observe, comme un petit dieu trivial, mais c'est le doigt d'Elohim, la divinité suprême. Il est conjecturé par certains H, que, à la mémoire de cette peste, les prêtres égyptiens grattent leur corps entier, de peur qu'il ne devrait y avoir de poux ou de toute chose impurée sur eux lorsqu'ils adorent leurs dieux, comme l'héroodote que je raconte:

Et le cœur de Pharaon était durci et il n'ait pas entouré pas à eux; Soit pas à des magiciens qui possédaient la main de Dieu et son pouvoir divin dans la peste infligée; ou à Moïse et à Aaron exigeant la démission du peuple d'Israël, ce dernier semble être confirmé par la phrase habituelle, comme suit,.

Comme le Seigneur avait dit; Voir Exode 7:4.

g utt supra. (Travaux, Vol. 1. p. 705, 706.) H Vid. Scheuchzer. Physica Sacra, vol. 1. p. 132. I Euterpe, Sive, l. 2. c. 37.

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