Au cours de l'année du jubilé, le domaine lui reviendra à qui il a été acheté, ... pas à celui qui lui a sanctifié, qu'il soit racheté ou non; ni pour lui qui l'ont acheté du trésorier du temple après sa sanctification; Mais au propriétaire original et le propriétaire de celui-ci, dont il l'a acheté qui le sanctifié, car il en résulte:

[Même] à lui à qui la possession de la terre [est apparue]; Ce qui était une possession de son qu'il avait héritablement de ses pères et, par conséquent, selon la loi de l'année du jubilé, devait ensuite lui reviendra et pouvait être retenu plus, ni même converti en des utilisations saintes; car comme on dit dans le malah h,.

"Un domaine d'achat ne va pas aux prêtres de l'année du jubilé; car aucun homme ne peut sanctifier une chose qui n'est pas la sienne; ''.

Comme ce qu'il avait acheté n'était plus âgé qu'à l'année du jubilé et ne pouvait donc pas le consacrer aux utilisations sacrées pendant plus longtemps.

h ut supra. (Hilchot Eracin, c. 4. Sect. 26.).

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