RÉFLEXIONS

LECTEUR! bien que la lecture de ce chapitre devant nous ouvre une occasion renouvelée de réfléchir sur les troubles de David ; pourtant, je passe par la considération de ces choses, pour le présent, afin de diriger votre attention, et la mienne, à la contemplation de notre adorable JÉSUS, dans cette partie douce et la plus précieuse de son caractère de Médiateur, que la vue de la femme sage dans Abel de Beth maachan suggère naturellement.

S'il est agréable de voir cette mère en Israël, sauvant une ville par son intervention ; pense, lecteur, combien il doit être délicieux de voir JÉSUS sauver un monde par l'exercice de cette glorieuse fonction. Il est venu au nom de JÉHOVAH, proposant des conditions de paix. Et des termes tels que anges étonnés. Non pas qu'un de nos chefs rebelles, comme Saba, doive être abandonné : non pas qu'un millier, ou dix mille devraient mourir pour racheter le reste ; bien que cela ait été une miséricorde indicible.

Mais que Lui, le miséricordieux, le miséricordieux, le puissant ambassadeur serait le médiateur de la paix et de la réconciliation, par le don et le sacrifice de lui-même. Le prophète pourrait bien s'exclamer, ô cieux émerveillés, et s'étonner, ô terre !

Mais, ah ! toi précieux JÉSUS ! tandis que je tombe devant ton marchepied, accablé d'émerveillement et d'étonnement à la perspective de cette miséricorde, je contemple, avec un amour et une surprise croissants, la manière dont tu exécute gracieusement l'œuvre.

Oui! très cher SEIGNEUR ! alors que mon âme contemple ta Personne sacrée en tant que Médiateur, pleinement qualifié et pleinement préparé, en tant que DIEU et Homme en une seule Personne, à l'office ; Je regarde aussi, jusqu'à ce que mon âme entière soit perdue et submergée par la vue, avec quelle sagesse infinie, tendresse, amour et pitié, tu es sérieux pour proposer les termes, poser les fondations et achever tout le travail, pour livrer ton les gens de la colère à venir.

Sois éternellement loué; éternellement aimé; éternellement adorée, pour cette gracieuse interposition ! Mon âme, à genoux de saint transport, de reconnaissance et de joie, t'accepte, SEIGNEUR, avec toutes tes œuvres de grâce, désirant dans le temps et pour toute l'éternité, bénir et louer DIEU pour son don ineffable !

Lecteur! pensez, s'il est possible, combien il doit attrister son SAINT-ESPRIT, quand les pécheurs négligent et méprisent ce grand salut ! Pense! comme leur état doit être inaltérable, qu'il laisse par conséquent errer et périr !

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