RÉFLEXIONS

Seigneur béni ! Je passerais par toutes les autres réflexions, aussi utiles qu'elles puissent être autrement, si je ne t'avais pas en vue, pour regarder mon Seigneur Jésus, sous certaines de ces révélations les plus douces et les plus précieuses que ton serviteur le Prophète a données de toi dans cette chapitre. Ici, je te vois, Seigneur, le vrai, le roi légitime de Sion ! Je te vois ici, le glorieux Seigneur au milieu de ton peuple ! Oui, Jésus béni, tu seras en effet, et tu as été pour la dernière fois dans tous les âges, un lieu de larges rivières et ruisseaux.

Car quoi si ton Église, comme Jérusalem d'autrefois, n'a ni mers navigables, ni navires vaillants, ni frontières à elle, pour la garder de l'ennemi commun; pourtant si Jésus, dans sa propre personne, est tout cela, et plus, qui attaquera ou osera s'approcher pour blesser ? Quelle fière galère à rames ramera pour blesser ton oint, tandis que Jésus est lui-même le large fleuve et les ruisseaux des eaux ? Oh! précieux Seigneur ! à quel point doivent-ils être éternellement en sécurité, ceux qui ont un Dieu en Christ pour juge ; un Dieu en Christ pour leur législateur ; et un Dieu en Christ pour leur roi ! Prends-moi, mon cher Seigneur, sous ta protection, et sois à moi, Jésus ; car alors je ne dirai plus, je suis malade, quand tu as pardonné, et enlevé toute iniquité, et jeté tous mes péchés dans les profondeurs de la mer.

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