Je passe sur, dans une brève remarque, la miséricorde du Seigneur accordée à Israël dans cette victoire, pour attirer l'attention du lecteur, sur la manière dont le Seigneur a voulu désigner la victoire doit être obtenue ; et c'était, apparemment, en étant surmonté. Israël pendant un certain temps parut en déroute et devint une proie facile, et l'ennemi triompha d'une main haute. Lecteur, n'en est-il pas ainsi de notre Tout-Puissant Josué et de son armée dans leur guerre ? Son peuple ne semble-t-il pas fuir devant ses ennemis ? Quand ils tombent, l'ennemi ne crie-t-il pas, Aha ! nous le voudrions ainsi : et comme ce monstre d'autrefois, qui était un type du diable, ne dit-il pas encore : « Je poursuivrai, je rattraperai, je partagerai le butin.

« Mais, notre Jésus triomphe, même en étant apparemment vaincu. En mourant et par la mort, il a vaincu la mort. Et par sa croix, il a gâté les principautés et les pouvoirs, et en a triomphé ouvertement. Oh ! toute la victoire. En devenant faible, tu as vaincu les forts, et dans la pauvreté, tu as ouvert les vraies richesses. Par ton humiliation en prenant sur toi notre nature, et par ta mort et ta passion, tu t'es procuré la victoire.

Seigneur, conduis-moi dans tous mes combats spirituels, sous ta direction et ta protection : car tu es ma force et mon chant, et tu es devenu mon salut. Ésaïe 12:2 .

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