(47) Et le soir venu, le navire était au milieu de la mer, et lui seul sur la terre. (48) Et il les vit peinant à ramer; car le vent leur était contraire; et vers la quatrième veille de la nuit, il vint à eux, marchant sur la mer, et aurait passé à côté d'eux. (49) Mais quand ils le virent marcher sur la mer, ils pensèrent que c'était un esprit, et s'écrièrent : (50) Car ils le virent tous, et furent troublés.

Et aussitôt il leur parla, et leur dit : Ayez bon courage : c'est moi ; n'aie pas peur. (51) Et il monta vers eux dans la barque ; et le vent cessa; et ils furent profondément étonnés en eux-mêmes au-delà de toute mesure, et s'étonnèrent. (52) Car ils ne considéraient pas le miracle des pains, car leur cœur s'endurcit.

En plus de ce qui a été observé sur cette démonstration de la puissance du CHRIST, sur le passage parallèle, Matthieu 14:24 , etc. Je voudrais juste remarquer, quelles démonstrations incessantes le SEIGNEUR a fait de sa DIVINITÉ. Cela semble avoir été fait dans le but de faire rougir l'Infidèle des siècles derniers, ainsi que de réconforter, et de donner confiance à ses pauvres et humbles croyants.

Le SEIGNEUR JÉSUS a-t-il fait cette provision pour le jour présent de l'infidélité ? (Je pose seulement la question.) Comme l'Éternel ne pouvait pas ne pas connaître les temps périlleux qui viendraient dans les derniers jours, où les hommes, se disant chrétiens, renieraient néanmoins l' Éternel qui les a achetés, et s'attireraient une destruction rapide; a-t-il fourni avec miséricorde de tels témoignages de sa divinité, aux jours de sa chair, qui pouvaient donner une force particulière à la foi de son peuple au jour de sa puissance ? En effet, en effet, je ne peux que penser qu'il y avait une grande partie de l'intention de CHRIST, dans les preuves innombrables que nous rencontrons si continuellement, dans ces annales de notre SEIGNEUR.

Et, je suis d'autant plus enclin à ce jugement, parce qu'on nous dit que les disciples alors, quand à l'époque JÉSUS montra des actes si merveilleux, furent très étonnés et étonnés ; leur cœur ; comme il est dit, étant endurcis : c'est-à-dire, je le crains, ils ne l'ont pas fait, car ils ne pouvaient certainement pas douter un seul instant de la DIVINITÉ du CHRIST ; mais ils restèrent stupéfaits, comme des hommes accablés par ce qu'ils voyaient et entendaient ; ne sachant pas, comme au Mont de la Transfiguration, que dire.

Voir Matthieu 17:1 , etc . Voir aussi ma note sur Matthieu 28:17 .

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