Quelle belle représentation est faite ici, dans une courte boussole, du beau et tout-aimant JÉSUS ! D'un mot seul le Seigneur guérit ! Penser à. sa souveraineté : pensez à sa grâce. Et que le Lecteur ne néglige pas ce qui est dit au sujet de sa prise de nos infirmités et de sa prise en charge de nos maladies. Remarquez, je vous prie, dit-on, que Lui-même l'a fait. JÉSUS-CHRIST a personnellement fait cela. C'est la Personne de CHRIST, en tant que Dieu-Homme, dans ce cas, nous devons toujours garder à l'esprit.

Pas la personne du PÈRE, ni la personne du SAINT-ESPRIT, car aucune de ces personnes glorieuses n'a pris notre nature : mais la personne de JÉSUS, Dieu-Homme-Médiateur. Et je désire très sincèrement que le lecteur s'arrête un instant sur cette merveilleuse relation. Lui-même a pris nos infirmités et a porté nos maladies. En lui-même, il n'y avait aucune possibilité qu'il tombe malade ; car la maladie est le seul effet du péché ; et comme il n'y avait pas de souillure de péché dans sa nature sainte, il ne pouvait y avoir de maladie, qui est la seule conséquence du péché : pourtant, comme par imputation il a porté nos péchés ; ainsi, par sympathie, il supporta nos maladies.

Oui, dans ce sens, il savait et ressentait plus ce que sont le péché, et les douleurs du péché et de la maladie que les pécheurs eux-mêmes pour lesquels il les a portés. Car comme JÉSUS soutenait les personnes de ses rachetés; ainsi il a soutenu leurs peines. Celui qui a ressenti tout le poids et le fardeau de leurs péchés, et la colère divine comme garantie, devait en savoir plus et ressentir plus à la fois l'amertume du péché lui-même et tous ses effets désastreux que le corps entier des pécheurs eux-mêmes. .

Et si, comme il est dit, l'âme juste de Loth était vexée par la sale conversation des méchants, jour après jour, ( 2 Pierre 2:7 ) quels ont dû être les sentiments du Seigneur JÉSUS, pendant toute sa vie sur terre en voyant les péchés de ses rachetés et qu'il a portés lui-même et pour lesquels il s'est donné une rançon.

Lecteur! ne rejetez pas cette vue du passage avant que vous ayez d'abord considéré quelle ouverture des plus bénies elle nous donne de la personne de notre Seigneur. Et permettez-moi d'ajouter que de tous les arguments sous la grâce du SAINT-ESPRIT, pour empêcher la commission du péché dans le peuple du Seigneur, c'est le plus élevé et le meilleur. Oh! quel triste retour pour un amour sans égal ! Un enfant de DIEU pourrait bien dire avec Joseph, lorsqu'il est tenté, comment puis-je faire cette grande méchanceté, et pécher contre DIEU. Genèse 39:9 ; Romains 8:13 : Romains 8:13 .

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