How is the city of praise not left, the city of my joy!

Comment ne reste-t-il pas la ville de la louange. Le prophète, en la personne d'un citoyen de Damas déplorant sa calamité, l'appelle "la ville de la louange" - i : e., célébrée partout avec des éloges pour sa beauté (Jérémie 51:41). «Comment est-il possible qu'une telle ville n'ait pas été laissée entière, n'ait pas été épargnée par l'ennemi? (Comparez "gauche", Luc 17:35 - Luc 17:36). Israël a donc laissé sur leur site certaines des villes cananéennes, (Josué 11:13, marge)

La ville de ma joie - i: e., dans laquelle je me délectais. Contraste avec l'ancienne joie des Damascènes dans leur ville, qui était vouée à la ruine, la joie de Dieu à jamais dans son peuple et dans Sion sa ville (Jérémie 33:9, "Ce sera à moi un nom de joie, une louange et un honneur devant toutes les nations de la terre. "

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